VRAIMENT ES..TONNANT !
En 2002, les Noels d’Europe s’étaient déjà déroulés à Kuressaare. Tous les participants de l’époque n’ont eu que des louanges à l’égard de l’Ametikool en général, de son directeur Neeme Rand et ses équipes en particulier.
Cette fois, en 2008, le challenge était encore beaucoup plus important. Environ 700 élèves, professeurs, accompagnateurs, directeurs de 32 pays étaient au rendez-vous de Kuressaare, capitale de l’île de Saarema, à quelques encablures de l’Estonie dont elle fait partie.
Du 14 octobre, date à laquelle s’est effectuée le ralliement des délégations, jusqu’au départ de tous le 19 octobre, les organisateurs ont réalisé un vrai tour de force compte tenu de l’importance d’une telle manifestation ! Un challenge à la dimension de l’Ametikool, centre de formation que tout le pays estonien envie si l’on en croit les diverses personnalités venues assister à l’une ou l’autre des manifestations telles la cérémonie d’ouverture ou encore la réunion du comité directeur et bien sûr, la cérémonie de clôture.
De l’avis général, grâce à une organisation pointue en coulisses, mais décontractée en apparence, ces 21èmes Rencontres ont à nouveau été pour tous les participants un moment privilégié dans leur vie d’étudiants, de professeurs et de directeurs.
Grâce à la taille « humaine » de Kuressaare, il était aisé pour tous de se rendre à pieds de l’hôtel attribué aux différents points de chute de la manifestation : palais des sports, KRTC ( Kuressaare Ametikool Regional Training Center) ou encore Salle des congrès.
Que dire des grands rendez-vous de ces journées ? Ils se sont déroulés toujours dans une ambiance conviviale et bon enfant, sans chichis ni tralalas. Avec rigueur, mais sans emphase ; avec un sens incomparable de l’accueil, mais sans exagération ; avec professionnalisme, mais sans raideur. De la belle ouvrage en vérité qu’il convient ici de mettre en exergue, n’en déplaise à quelques grincheux patentés. Et si parfois au niveau des concours il y eut çà et là quelques incompréhensions, quelques petites difficultés malgré l’énorme travail de la commission ad hoc et du savoir faire des jurys, qu’on se le dise : que celui qui n’a jamais failli jette la première pierre !
Au total et à l’heure des départs pour les retours dans les différents pays, la seule expression entendue des uns et des autres était : un grand merci pour cette belle édition réussie et rendez-vous l’année prochaine à Dubrovnik…
Jo Laengy