De la documentation
Les organisateurs ont une fois de plus bien fait les choses en matière d’accueil. Chaque participant a eu droit à sa musette contenant toute une documentation sur les charmes de la Turquie. Avec en prime un joli stylo à bille, un badge et le programme édité en turc, anglais et français. Et pour le départ, un certificat de participation ainsi qu’un cadeau individuel pour chaque étudiant remis lors de la cérémonie de clôture.
l’équipe d’accueil presqu’au complet !
Somptueux
Les buffets du Kemer Resort Hôtel ont été de l’avis de tous de très haut niveau. Et ce pour les petits-déjeuners, les déjeuners et les dîners. Il aurait été difficile de se plaindre qu’il y manquait quelque-chose! Le soir, le dîner était même agrémenté de musique avec une jeune femme chanteuse. Malheureusement pour elle, personne n’avait l’air de l’écouter.
buffets somptueux
Votes par acclamation
Lors de l’assemblée générale, les participants sont équipés en général de trois cartons pour les votes éventuels. Rouge pour le non, vert pour le oui et jaune pour l’abstention. Cette fois, il n’y en eut pas. Aussi les délégués furent-ils invités à se prononcer par acclamation !
En rester aux langues officielles
Les langues officielles de l’AEHT étant l’anglais et le français, il y eut quelques hésitations lors de la présentation des différents pays puisque celle-ci s’effectua en turc. Ainsi Isvec c’est la Suède, Hiravatistan la Croatie, Isvicre la Suisse ou encore Yunanistan la Grèce. Il fallait traduire !
Un document !
La photo de famille de l’AEHT fut faite cette année dans le cadre magnifique du théâtre antique de Aspendos. Une excellente idée qui a permis de réaliser un document qui fera date. Les Romains n’y avaient pas pensé.
A la sortie du théâtre antique d'Aspendos, Alfonso Benvenuto, le président de l'AEHT n'a pas résisté au plaisir de regarder le monde d'un peu plus haut. A dos de chameau comme on peut le constater. La brave bête n'a probablement jamais eu sur sa bosse un président qui représente au bas mot 400.000 directeurs, professeurs et étudiants d'écoles hôtelières et de tourisme d'Europe......
Les délices de la plage ?
Les séminaires Pro-Terris et Virtex, la conférence du Dr. Fahri Isik, pourtant sur des sujets qui devraient en principe intéresser directeurs et professeurs, n’ont guère eu du succès. Dommage pour les intervenants.
Sauna gratuit
Les étudiants pour les concours de cuisine et de pâtisserie ont eu beaucoup de mérite à travailler à l’école Turem de Kémer. En effet, même s’il est évident que dans une cuisine il fait chaud, il y faisait vraiment très chaud compte tenu du nombre de concurrents qui y travaillaient auxquels il fallait ajouter les membres du jury dans un espace très confiné.
Abondance de biens nuit…
La formule « all inclusive » de l’hôtel a eu des adeptes sérieux autour des différents bars. Il est vrai qu’il est tentant de commander une boisson puis une autre, puis une autre encore sans devoir bourse délier ! Le tout étant servi le plus souvent avec célérité et même le sourire !
Casa della divisa
Tout à côté de l’accueil dans le hall du Kémer Resort Hotel se trouvait un stand de vêtements de travail. Membre de l’AEHT au titre de la catégorie « professionnels », Marco Esposto et son assistante ont présenté toute la gamme de leur production destinée à toutes les catégories de personnels travaillant dans un hôtel. Et son stand a connu un vif succès en contacts de toutes sortes. (http://www.casadelladivisa.it)
L’école de Türem à Kémer
Cette école de tourisme compte 109 étudiants entre 16 et 20 ans et dix professeurs dans divers secteurs : réception, F&B, service et cuisine. C’est dans cet établissement qui se trouve à l’autre extrémité de Kémer que se sont déroulées les concours de cuisine et de pâtisserie.
Attention ça glisse !
Aller dans un hammam ou bain turc, surtout s’il est agrémenté d’un peeling à la mousse peut se révéler dangereux ! C’est la mésaventure qui est arrivée à votre serviteur lorsqu’après le peeling il s’est levé pour regagner la sortie. Il s’est retrouvé par terre avec une arcade sourcilière un peu ouverte et des contusions partout ! Ce fut un branle-bas général et bien vite il fut soigné et bichonné ! Mais, plus de peur que de mal et, même si l’incident a fait le tour de l’hôtel, ce n’est déjà plus qu’un mauvais souvenir.
Grenades fraîches
Un peu partout et pour peu d’être un peu observateur on pouvait voir aux coins des rues de Kémer et d’ailleurs des vendeurs de grenades. Qui en un clin d’œil vous servaient un jus de grenade frais grâce à une presse à main. Mais parfois il fallait ajouter un peu de sucre. Quand même.
Conciliabules incongrus
A plusieurs reprises, tant lors de la cérémonie d’ouverture que lors de la cérémonie de clôture, on a pu constater que dans certains endroits de la salle et ce pendant les discours, des groupes ne se gênaient pas pour deviser tranquillement. Gênant ainsi ceux qui souhaitaient écouter. Il appartiendrait aux directeurs et professeurs concernés de rendre leurs étudiants attentifs à ce manque évident de savoir vivre.
La délégation la plus éloignée
Parmi les 30 pays représentés aux Rencontres d’Antalya, il y a en une qui malgré sa discrétion, n’est pas passée inaperçue. C’était celle du Mexique. Bien loin de l’Europe et pourtant, elle était bien là !
Artisanat et « Turkish delight »
Comme il se doit, les organisateurs ont aussi veillé à faire découvrir aux participants les traditions et autres particularités culinaires turques. C’est pourquoi des expositions et des dégustations avaient été installées et organisées près de la salle de bal. Et nombreux furent ceux et celles qui se laissèrent tenter par un « turkish delight » ou pour admirer le savoir faire des artisans locaux !.
Les « chefs au travail » !
Comme il se doit, les Rencontres sont aussi l’occasion rêvée de réunir tous les membres du Comité directeur présents afin de mettre en commun le travail d’une année. Un grand moment qui se passe toujours en marge et dans la discrétion pour préparer en fait l’assemblée générale.
